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CHEIKH AL ISLAM IMAM DE LA FAYDA TIDJANIA
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CHEIKH AL ISLAM IMAM DE LA FAYDA TIDJANIA

VIP-Blog de barhama
  • 27 articles publiés
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  • Créé le : 25/03/2007 01:54
    Modifié : 25/03/2007 04:21

    Garçon (21 ans)
    Origine : DAKAR/SENEGAL
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    QU’Y A-T-IL AU-DELA DE «la MORT »Explications de Mohammed sur la mort

    25/03/2007 03:52



    Il est malheureux que la MORT n’ait pas été comprise convenablement dans son vrai sens, et qu’elle ait été considérée comme «une fin ». Alors que loin être une fin, la MORT n’est rien d’autre qu’une forme de transition d’un monde physique à un monde au-delà du matériel. Juste après la séparation d’une personne de son corps physique à travers la MORT , sa vie continue dans une sorte d’hologramme de fréquences, l’esprit, que ce soit dans une tombe ou en dehors. C’est-à-dire que la MORT est une continuation de la vie, commençant avec un corps spirituel après la fin de la vie avec un corps physique.

     

    Le Coran qui nous enseigne les fondements de l’Islam explique la mort comme suit :

     

    « Chaque âme goûtera à la MORT ! ».

     

    Ce qu’on appelle la «mort » est un transfert vers une vie dans un univers de fréquences, dans un corps spirituel, après la séparation du corps biologique. Dès que le cerveau cesse de fonctionner, l’énergie bioélectrique en circulation dans notre corps, est coupée et il en est de même de la force électromagnétique entre le corps et l’esprit, qui normalement garde l’esprit lié au corps. Ainsi, L’ESPRIT humain est délivré vers une nouvelle vie indépendante du corps physique. C’est un tel événement qui est désigné par le mot «mort ». Toutes les activités correspondant à chaque action d’une personne dans son cerveau, durant sa vie, sont stockées dans son esprit, c’est-à-dire la masse de fréquences, comme les ondes de son et de vision. Par conséquent on accède directement à la dimension spirituelle sans qu’aucun changement ne soit remarqué à la mort. La personne continue sa vie sous forme d’esprit, de la même manière que dans un corps physique ! Avec une différence cependant ! Bien qu’il soit complètement en vie et conscient comme avant, il n’est plus capable de conduire son corps physique à présent. Il est similaire à quelqu’un en état de paralysie qui est en vie et conscient ! Il peut voir tout se poursuivre à l’extérieur, il peut entendre et sentir tout, mais il n’est plus capable d’envoyer un message au monde extérieur.

     

    Ce qui suit est un hadith de Mohammed à propos de la mort tel qu’il a été rapporté par un grand savant Ibrahim Hakki Erzurumî dans son livre «marifetname » (Livre de Gnose) :

     

    « Le décédé (qui a goûté à la mort) connaît ceux qui ont lavé son corps, ceux qui ont enseveli le cadavre, ceux qui ont accompli pour lui le service funéraire, qui ont participé à son cortège funèbre, qui ont descendu son cadavre dans la tombe et qui ont l’ont appelé sur sa tombe ! »

     

    « Ne pleurez pas tout en frappant sur vos joues et en déchirant vos habits devant le décédé car il est torturé par vos lamentations ! ».

     

    Ceci prouve que le décédé verra, sentira et sera chagriné par les situations des autres.

     

    Je veux attirer votre attention sur ces paroles du Prophète qui nous ferons clairement comprendre que même si celui qui est dans la tombe, qui est décédé, a perdu son lien avec son corps physique, il demeurera en vie, saura et aura conscience dans son «esprit » et de plus il entendra ce qu’on lui dira de l’extérieur.

     

    Talha (1) rapporta :

     

    « Le jour de la bataille de Badr, le Prophète (Que la paix soit sur lui) ordonna que les 24 cadavres de la tribu des Qoraïches fussent rassemblés. Ils furent ensuite jetés dans une fosse parmi les fossés de Badr.

     

    Lorsqu’une victoire était gagnée, le Messager d’»allah » (Rasulullah) avait l’habitude d’occuper temporairement des quartiers gagnés dans les champs des tribus ennemies, chaque fois, durant trois jours. Comme c’était le troisième jour de la bataille de Bar, Mohammed ordonna qu’on ramenât son chameau et qu’on le chargeât d’aliments nécessaires pour la route. Dès que Rasulullah se mit en route, ses amis le suivirent. Pendant ce temps, ils se mirent à se dire que Rasulullah allait probablement vers un but. A la fin le Prophète s’arrêta près du fossé où les cadavres avaient été jetés, et les appela ensuite par le nom de leurs pères :

     

    « Oh un tel ! Oh Abu Jahil Ibn-i Hisham : Oh Utbe Ibn-i Rabia ! ... n’auriez vous pas été heureux maintenant si vous aviez cru et obéi à «allah » et à son Messager ? Nous avons en effet trouvé la victoire que notre Seigneur nous avait promise. Avez vous, vous aussi trouvé la victoire que votre Seigneur vous avait promise ?

     

    En l’entendant parler, Omar demanda :

     

    « Oh Rasulullah ! Comment vous adressez-vous à des gens qui sont déjà des cadavres ? ».

     

    Le prophète répondit :

     

    « Je jure par Celui dans les mains Duquel se trouve l’âme de Mohammed que vous n’entendez pas mieux qu’eux ce que je dis ! »

     

    Dans cet événement raconté dans Boukhari, le Prophète a, par cette occasion, corrigé une grande conception erronée.

     

    Celui-ci a été le meilleur hadith pour corriger l’idée absolument fausse que «les hommes reposent dans leurs tombes en morts et reviendront à la vie plus tard, le jour de la Résurrection ».

     

    En fait, quand les hommes sont mis dans la tombe, ils le savent et en ont conscience comme s’ils étaient en état d’éveil ; ils entendent également celui qui s’adresse à eux de l’extérieur aussi clairement que s’ils étaient dehors.

     

    Othman Bin Afwan, qui est le troisième khalife après le Prophète, avait l’habitude de verser des larmes jusqu’à ce que sa barbe se mouillât, lorsqu’il se tenait à proximité d’une tombe. On lui a demandé un jour :

     

    « Vous ne pleurez pas quand vous vous rappelez le Paradis et l’Enfer, mais pourquoi versez-vous des larmes, est-ce la tombe qui vous effraie ? ».

     

    Othman répondit :

     

    « Tel que je l’ai entendu du Prophète, la tombe est certainement la première des stations dans le monde prochain ! Si une personne est libérée de là, il lui sera plus facile d’être libérée des autres à venir. S’il ne réussit pas à se libérer de là, les autres à venir seront encore plus dures ! ». Othman continua ensuite : Le Prophète a dit : « Je n’ai jamais vu de spectacle plus épouvantable que celui d’une tombe ! »

     

    Se tenant près de la tombe de Sadd bin Muaz qui était un important personnage islamique et un martyr pour la cause de l’Islam (shahid), le Prophète a dit un jour :

     

    « Il était un serviteur si distingué que le ciel a tremblé, que ses portes se sont ouvertes pour lui et des milliers d’anges sont venus sur terre. Même lui, s’est senti si serré dans la tombe que ses os ont failli craquer ! S’il était possible d’échapper au châtiment de la tombe et des afflictions après la mort, cela aurait été accordé en premier à Sadd ! Il fut immédiatement délivré de telles afflictions grâce à l’état qu’il avait atteint, c’est tout ! ».

     

    Considérons cela une petite minute ! Si les hommes n’étaient pas en état d’éveil, c’est-à-dire conscients, dans leurs tombes, est-ce qu’un tel châtiment pourrait jamais être pensable ?

     

    On a demandé un jour au Prophète :

     

    « Oh Rasulullah ! Quel est parmi les croyants celui qui a le plus de connaissances et qui est le plus conscient ? » Il répondit : « Ceux qui se souviennent le plus de ce qui arrive à l’homme à sa mort et qui se préparent à faire de leur mieux pour une telle vie après la mort. Ceux-là sont les plus conscients et ceux qui savent le plus.

     

    Ailleurs, Il affirme que :

     

    « Le plus conscient et qui voit le plus loin, est celui qui se soumet (son âme) aux ordres divins et qui s’occupe d’œuvres dont il bénéficiera après la mort. Faible est celui qui reste dépendant de ses propres désirs (égoïste) et puis attend une faveur d’ALLAH ! ».

     

    Ibn Masud, qui était parmi les amis du Prophète a rapporté ses paroles à propos du châtiment de la tombe :

     

    « Les pécheurs seront sûrement exposés au châtiment de la tombe ; les bêtes ont même un sens qui leur permet d’entendre leurs cris ».

     

    Abu Saïd El Khudri raconta : Le prophète a dit :

     

    « Le non croyant est obsédé par quatre vingt dix neuf monstres dans la tombe, chacun d’eux le mordant, le piquant jusqu’au Jugement Dernier. Si jamais quiconque parmi eux respirait par-dessus terre, aucune herbe ne pourrait jamais plus pousser alors ! ».

     

    Ibn Omar raconta : Le Messager d’Allah a dit :

     

    « Quand l’un de vous meurt, on lui montre matin et soir la place qu’il occupera : s’il est destiné au Paradis, alors parmi les gens du Paradis ; s’il est destiné au Feu, alors parmi ceux du Feu, Puis on lui dit : « Voici ta place jusqu’au jour de la Résurrection (Baa’s) ! ».

     

    A présent, accordons un intérêt particulier à un autre point qui est une phrase que nous récitons dans Amantu (2) : « Wal baa’su bad’al MAWT » signifiant «et de revivre après la MORT ».

     

    Examinons cela très attentivement ! Nous ne disons pas : « Wal baa’su bad’al QIYAMAT (LE JOUR DU JUGEMENT) ». L’événement impliqué par le mot «baa’s » n’est pas celui après LE JUGEMENT DERNIER, mais celui après AVOIR GOÛTE A LA MORT !

     

    Dans ce monde, l’homme vit avec son corps physique connu et le corps spirituel construit par son cerveau physique.

     

    En effet, un grand savant islamique et mystique, l’Imam Ghazali dit ce qui suit, à propos du nom AL-BAA’S, dans son livre intitulé «l’interprétation des AsmaAl-Husna » :

     

    La plupart des gens s’engagent dans de fausses conjectures à cet égard, et s’imaginent alors que la mort est une simple absence, la non-existence, ou alors que le «baa’s » entraîne quelque chose de nouveau à la suite de cette absence, comme dans la première création... Avant tout, leur présomption que la mort est la non-existence est une erreur, de même que leur croyance que leur deuxième vie est semblable à la première. En ce qui concerne la présomption que la mort est la non-existence, elle est sans fondement. A vrai dire, la tombe est soit une des fosses des feux de l’Enfer, soit un jardin parmi les jardins du Paradis... La vision intérieure a guidé les maîtres de perception intellectuelle au fait que l’homme a été créé pour l’éternité et qu’il n’y a aucun moyen pour lui de devenir non existant... Evidemment, il y a des moments où son lien est coupé avec son cadavre, quand on dit qu’«il est mort »; ou des moments où son lien peut revenir, et où l’on dit «il est revenu à la vie». Quant à leur croyance que la résurrection est quelque chose de semblable à la première existence, ils sont dans l’erreur, car la résurrection se réfère à une autre sorte de création sans aucune relation avec la première... A vrai dire, les êtres humains subissent un certain nombre de retours à la vie, pas seulement deux ».

     

    En goûtant à la mort, l’esprit humain est libéré du corps physique, et la vie se poursuit dans l’esprit, dans la tombe, jusqu’au Jugement Dernier. Bien plus tard, il revient à la vie une fois de plus (baa’s) avec ses caractéristiques présentes (d’aujourd’hui), durant le terme où la terre est corrompue dans la chaleur du Soleil ; ce qui correspond au «Jugement Dernier» ! Et à la fin tous les corps sont formés par baa’s pour la dernière fois en conformité avec l’environnement qu’ils atteignent.

     

    Allons-nous donc avoir conscience de notre existence, allons nous avoir notre mécanisme actuel de perception et de compréhension dans notre tombe également ?

     

    Abdullah Ibn Omar dit à propos de cela : Durant une discussion avec le Prophète, concernant deux anges connus en tant que Munkir et Nakir qui passent en examen les gens dans la tombe, j’ai demandé : « Oh! Rasulullah allons-nous être éveillés dans la tombe ? »

     

    « Oui. De la même manière que vous l’êtes maintenant ! ».

     

    Qu’arrive-t-il à la personne qui a goûté à la mort, qui est lucide, consciente mais dont le corps ne fonctionne plus ? Apprendrons-nous cela de Anas ?

     

    Le Prophète répondit :

     

    « Lorsqu’un croyant est posé dans sa tombe et que ses compagnons s’éloignent et retournent chez eux, et alors qu’il entend encore le craquement de leurs pas, deux anges se rendent auprès de lui, le font mettre sur son séant et lui posent la question suivante :

     

    « Que disais-tu de cet homme appelé Mohammed ? ».

     

    S’il est un croyant plein de foi, il répondra :

     

    « J’ai attesté, que Mohammed est le serviteur d’ALLAH et Son Messager ». A sa réponse, on lui dira :

     

    « Regarde la place que tu aurais occupée dans le Feu de l’Enfer et celle qu’ALLAH t’a donnée en échange dans le Paradis ». Le prophète ajouta : « Il verra ensuite ces deux places en même temps, celle du Paradis et celle de l’Enfer ».

     

    Quant au mécréant et à l’hypocrite (un musulman de nom), il répondra :

     

    « Je ne sais pas... je répétais ce que tout le monde disait ! ». On lui dira alors :

     

    « Tu n’as rien su, tu n’as donc rien lu (du Coran) ! ».

     

    Ensuite il sera battu avec un maillet et poussera un tel cri que tout le voisinage l’entendra sauf les hommes et les djinns ! » (Bukhari) (3).

     

    Nous noterons enfin le hadith suivant pour conclure le sujet :

     

    « Le décédé - celui qui a goûté à la mort - est torturé par les lamentations de ses parents à son égard ».

     

    Beaucoup plus de hadiths de Rasulullah concernant cette question sont disponibles dans des recueils de Traditions musulmanes où ils peuvent être étudiés davantage.

     

    En conclusion brève de tout cela :

     

    Les êtres humains NE MEURENT JAMAIS, MAIS GOÛTENT A LA MORT ! En goûtant à la mort, la personne perd son lien avec son corps physique et poursuit sa vie dans sa masse de fréquences, c’est-à-dire son esprit. Par conséquent, tout le monde est éveillé dans sa tombe. Chacun continue à vivre là bas tout en ayant connaissance et en ayant conscience, jusqu’au jour de la Résurrection , lorsque chaque personne est remplacée par un nouveau corps en conformité aux conditions de ce terme.

     

    Nous mentionnerons brièvement à présent ce que l’on subit encore après la mort.

     

    Une fois que la personne est morte, sa perception du monde extérieur continue encore pendant quelque temps. Juste comme s’il avait vécu dans son corps biologique, il suit ce qui ce passe autour de lui, il entend les conversations des gens, leurs lamentations. Durant cette période, il se sent comme quelqu’un en état de paralysie. Tous les événements sont perçus de l’extérieur mais, cependant, aucun message ne peut être envoyé. Puis, le moment de laver le cadavre arrive. Quel en est le but ?

     

    La sagesse, en lavant le mort, autant que nous puissions le comprendre, est de fournir au corps dont la vie cellulaire continue, un renforcement bioélectrique au moyen d’osmose, afin que la personne puisse maintenir son contact, bien qu’il soit unilatéral, pendant un peu plus de temps, avec le monde où il avait l’habitude de se mouvoir dans son corps physique, il y avait un moment.

     

    La dimension de la vie qui commence au moment où la MORT est GOÛTEE et continue jusqu’au jour de la Résurrection est connue en tant qu’univers du BARZAKH (Isthmus).

     

    La vie commençant par la mort a trois phases :

     

    1. La vie dans la tombe.

     

    2. La vie dans le monde des tombes.

     

    3. La vie dans le Isthmus (Barzakh).

     

    1. « La vie dans la tombe » : C’est la phase qui dure aussi longtemps que la vie du mort dans sa tombe continue, tout en percevant son environnement physique après avoir goûté à la mort et subi baa’s dans son hologramme de fréquences - son esprit. Durant cette phase, il continue à percevoir les événements qui se passent autour de lui avant et après son enterrement. Cette étape transitoire ressemble à la période qui s’écoule entre notre état de veille et notre sommeil dans nos lits que nous vivons tous chaque jour. Avant de sombrer dans le sommeil nous nous allongeons dans notre lit, conscients et éveillés, tout en ayant connaissance de ce qui se passe aux alentours, la douceur ou la dureté du lit sur lequel nous sommes étendus. Pareillement à l’homme qui est sur le point de dormir, celui qui est dans la tombe, dans cette première étape, perçoit tout aux environs et à l’intérieur de la tombe comme s’il était encore en vie. Juste comme l’homme qui est conscient de cet environnement et qui sombre dans le sommeil dans un monde de rêves, celui qui est dans la tombe perçoit les événements à l’intérieur de sa tombe physique de même que ceux de l’extérieur. En attendant, il est sur le point de commencer son voyage dans SON PROPRE MONDE DE TOMBES.

     

    Ensuite, deux anges, comme indiqué en Islam, apparaissent et lui posent trois questions : « Qui est ton Seigneur ? », « Qui est ton Prophète ? » et «quel est ton Livre ? ».

     

    FAITES ATTENTION ! Il n’y a aucune question dans la tombe concernant la secte, ni l’ordre (tariqat) ou le culte (madzhab) de qui que ce soit ! Jamais un imam de quelque culte ou de quelque secte qu’il soit n’est questionné à ce propos ! CEUX QUI PENSENT QUE CE GENRE DE QUESTIONS SERA POSE DANS LA TOMBE NE SONT PAS FAMILIARISES AVEC LA RELIGION. Ni dans le Coran, ni dans aucun hadith de Mohammed, n’est mentionné quoi que ce soit faisant allusion à une question relative au culte ou à la secte ! Les sectes et les autres organisations ont été établies longtemps après la transition du Prophète dans l’univers du Barzakh !

     

    Oui, à la suite de cet examen, c’est la transition d’une personne dans, soit son monde des tombes, soit son univers du Barzakh.

     

    Nous ferons par la suite la différence entre le monde des tombes et l’univers du Barzakh.

     

    2. « La vie dans le monde des tombes ». A ce stade, celui qui est dans la tombe ressemble à celui qui est complètement endormi dans le monde des rêves, qui n’a pas connaissance de son entrée dans le monde des rêves et qui continue à vivre, percevoir, éprouver comme s’il était éveillé.

     

    Juste comme nous vivons dans ce monde avec l’idée que c’est là notre unique vie, la personne qui entame sa vie dans le monde des tombes expérimente cette nouvelle dimension de la vie de la même manière que si elle était sa seule vie là bas. Dans la phase suivante, soit il vit les rêves agréables d’un Paradis en se divertissant paisiblement, ce qui correspond au «paradis dans la tombe », soit il vit un cauchemar de rêves effroyables d’Enfer au milieu de tortures et de tourments terribles, ce qui correspond au «feu de l’Enfer dans la tombe ». Cette phase se poursuit de la même manière jusqu’au Jugement Dernier.

     

    Ainsi se présente la vie d’une personne dans le monde de tombes durant son séjour dans la tombe.

     

    Le hadith-i-sharif suivant de notre Prophète nous instruit sur ce fait :

     

    « La tombe d’un humain est soit un jardin parmi les jardins du Paradis, soit un trou parmi les trous de l’Enfer ».

     

    Outre cela, il y a une vie dans l’univers du Barzakh.

     

    3. « Le monde de la vie du Barzakh ». C’est une dimension de la vie qui est expérimentée par les martyrs qui sont morts sur le sentier d’« ALLAH », les prophètes et les gnostiques (awliyaullah) , ceux qui sont morts avant que la mort ne vienne réellement à eux. Là bas, ils se déplacent librement dans leurs « corps spirituels » comme s’ils étaient libérés des limites de leur vie de tombe.

     

    Dans la vie du BARZAKH, les Martyrs, les Gnostiques d’ALLAH (awliyaullah) et les Prophètes peuvent se déplacer, voyager et communiquer librement entre eux, selon leur statut. De plus, il y a dans la vie du Barzakh, une hiérarchie et des chefs au sein de cette hiérarchie. Vous trouverez de plus amples informations dans notre livre intitulé « LES MYSTERES DE L’HOMME », sous le titre « Rijal-i ghaïb » (Les hommes de l’Inconnu).

     

    Parmi ceux qui sont dans la vie du Barzakh, un groupe d’awliya qui ont atteint l’état de « fatih » durant leurs vies dans ce monde peuvent communiquer avec ceux de ce monde. Cependant les awliyaullah qui ont atteint l’état de « Kashif » mais qui n’ont pas atteint « fatih » ne peuvent pas entrer en communication directe avec ceux du monde bien qu’ils soient complètement libres dans leur univers. Nous avons donné de plus amples détails à propos des états de « Kashif » et « fatih » (4) dans notre livre intitulé « DUA ET DHIKR » (PRIERE ET MEDITATION EN ISLAM).

     

    Chaque personne continue sa vie après avoir goûté à la mort soit dans son propre monde de tombes, soit dans le Barzakh, selon son état.

     

    Une telle vie attend chacun de nous ! Quiconque peut vérifier ces renseignements et voir la véracité de nos explications dans les sources en rapport, s’il le désire.

     

    Notes :

     

    1. De même que Talha, tous ces noms se réfèrent aux amis de Mohammed qui rapportèrent certains de ses hadiths et sa sunna.

     

    2. Amantu, signifiant « J’ai cru ... », un passage des principes où Mohammed aleyhessalam a défini fatih.

     

    3. Bukhari, l’un des six livres bien connus de hadiths.

     

    4. « Kashif » signifiant « dévoilement » est un terme se référant à des états de compréhension spécifique, par la sensation dans l’expérience de la conscience objective.

     

    « Fatih » signifiant « conquête », le plus haut état de l’expérience absolue de la conscience cosmique.

     






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