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CHEIKH AL ISLAM IMAM DE LA FAYDA TIDJANIA
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CHEIKH AL ISLAM IMAM DE LA FAYDA TIDJANIA

VIP-Blog de barhama
  • 27 articles publiés
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  • Créé le : 25/03/2007 01:54
    Modifié : 25/03/2007 04:21

    Garçon (21 ans)
    Origine : DAKAR/SENEGAL
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    SILSILATOUL ZAHABIYYATOU

    25/03/2007 04:08



    Sa chaîne de transmission appelée celle de L’Or Rouge est la suivante :

     

     

    Cheikh Ahmad At-Tijani

     

     

    Cheikh Alioune Tomassmi

     

     

    Cheikh Ahmad Laawi

     

     

    Cheikh Suukayridji

     

     

    Cheikh Ibrahima Niass

     



    Commentaire de Ya Sine (19/09/2007 07:23) :

    Salam! petite correction concernant l'orthographe sur la chaine d'or que voici:Saidina Mouhammed (r) le Sceau des Prophètes (s), Cheikh Ahmed Tidjani (r), Cheikh 'Ali tamaçini (r), Cheikh Ahmed 'Abdallawi (r), Cheikh Ahmed Soukeridj (r), Cheikh Ibrahim Niasse (r).


    Commentaire de Ya Sine (19/09/2007 07:24) :

    Salam! petite correction concernant l'orthographe sur la chaine d'or que voici:Saidina Mouhammed (r) le Sceau des Prophètes (s), Cheikh Ahmed Tidjani (r), Cheikh 'Ali tamaçini (r), Cheikh Ahmed 'Abdallawi (r), Cheikh Ahmed Soukeridj (r), Cheikh Ibrahim Niasse (r).





    UNE NOUVELLE COMPREHENSION

    25/03/2007 04:03



    Cher ami,

     

    Vous trouverez de nouvelles idées dans cet opuscule et notre vœu le plus sincère est que vous fassiez des recherches et que vous méditiez sur ces faits, libre de tout préjugé, puis en discuter avec les gens de votre entourage afin de découvrir la vérité. Désormais, cela dépendra seulement de vous. Pour notre part, nous ne pouvons que respecter votre décision.

     

    Mon ami ! Selon les dernières données scientifiques de deux très grands chercheurs, le neurophysiologiste, Karl Pribram de Stanford, et le physicien David Bohm, un des protégés d’Einstein, la véritable nature de l’univers est un tout entièrement composé d’énergie quantique et conçu holographiquement. Pareillement, le cerveau humain est une substance composée d’ondes de fréquences fonctionnant holographiquement ...

     

    LA MORT n’est rien d’autre qu’une transition de la conscience d’une personne d’un niveau holographique vers un autre.

     

    Le cerveau humain sculpte une sorte de corps de fréquences (corps de lumière) par la conversion de l’énergie bioélectrique obtenue de l’analyse d’aliments nutritifs. C’est ce que l’on désigne habituellement par «esprit humain ». En même temps, le cerveau humain non seulement charge toutes les fréquences de son activité mentale (ondes significatives) dans ce corps de fréquences qu’il a sculpté, mais il les propage également dans l’espace.

     

    Puisque le cerveau de chaque personne construit son propre corps de fréquences qui est son «esprit », l’idée de la «réincarnation » qui admet qu’un esprit rentre de nouveau dans un corps physique après son séjour dans un premier corps, est absolument sans fondement. La réincarnation est, à l’origine, une croyance hindoue. Le Coran, Livre Saint de l’Islam, décrit « la mort » comme un événement à «goûter » et met l’accent dans le Chapitre des Mu’minun, versets 99 et 100, qu’il est impossible à l’être humain de revenir sur terre par une renaissance après avoir goûté à la mort...

     

    Revenons à la nature holographique de l’univers. La recherche expérimentale a mis en évidence que les particules subatomiques qui composent notre univers physique se déplacent comme des images spectrales et possèdent cette propriété dite holographique. Une des découvertes de Bohm, indique que les particules subatomiques sont entièrement interconnectées les unes aux autres. Une telle interconnexion indique que l’univers considéré comme composé de «parties » est en fait organisé en un TOUT.

     

    Les particules subatomiques ne sont pas des choses indépendantes et ne sont pas séparées les unes des autres. Les parties se conduisent en fait comme un tout indissociable. Par ces découvertes, Bohm arriva à la conclusion que «l’univers est une sorte d’hologramme géant ».

     

    Sur la base du principe de l’hologramme, chaque particule infinitésimale de l’univers contient toutes les qualités observées dans tout l’univers. C’est-à-dire que chaque portion de l’univers englobe le tout. Toute chose dans l’univers fait partie d’un continuum et chaque chose contient en totalité toutes les propriétés de l’autre de sorte que l’on peut dire qu’elle est la même «autre chose ». La réalité si différente de notre propre concept, c’est que le monde est un tout, non divisé, non fragmenté en parties.

     

    Bohm définit également une nouvelle dimension de la physique quantique qu’il appelle le potentiel quantique :

     

    - A l’échelle infinitésimale, la notion d’espace cesse d’exister. Il y a fusion de tous les points de l’espace qui s’interconnectent.

     

    - Tout comme chaque portion d’un hologramme contient l’image du tout, chaque portion de l’univers possède intégralement l’information. Cela veut dire que l’information est un tout englobé dans le tout en un tout.

     

    Toutes ces explorations contribuent à prouver qu’il ne peut pas y avoir un DIEU, LA, DEHORS, résidant en certains endroits de l’espace !

     

    Dans le Coran, Livre saint de l’Islam, il est dit «il N’Y A PAS DE DIEU, IL Y A SEULEMENT ALLAH », qui est AHAD (Chapitre de l’unité, 112 : 1), signifiant l’un, non divisé, non fragmenté en composants. On ne peut pas penser à l’existence d’un second être en dehors de Lui. Il est un tout non composé de morceaux. Par conséquent, le panthéisme ne signifie jamais ce que le concept du nom «Allah » indique.

     

    Toutes les choses séparées que nous percevons par nos moyens sensoriels existent à travers l’existence d’ALLAH. Cependant, Son intégralité n’est pas composée de choses multiples. Il n’y a que LUI en réalité. L’observation de la multiplicité dans l’univers est illusoire ; Elle résulte de la capacité de perception de l’observateur, de sa façon de regarder. Dans la réalité absolue, il n’y a qu’ALLAH seul, et rien en dehors de Lui.

     

    Au niveau du quantum, toutes les choses sont inséparablement interconnectées, et la vie et la conscience sont englobées dans la totalité de l’univers. Diviser la vie en choses vivantes et non vivantes n’a également pas de sens.

     

    Il y a d’innombrables niveaux de vie et de formes de vie intellectuelle dans la totalité de l’univers, chacun étant composé d’ondes de fréquences variées. Nous, êtres humains, formons effectivement seulement une de ces innombrables dimensions d’un tel univers holographique à couches multiples

     

    Dans chaque niveau d’existence de l’univers, la vie continue toujours en constantes transformations, d’une dimension à une autre. Cependant il n’y a pas d’absence d’un quelconque individu qui a déjà existé auparavant. Une fois que l’être humain existe, sa vie continue à jamais tout en passant par des niveaux de dimensions diverses.

     

    Le dernier Prophète - Messager, Mohammed, a REVELE cette vérité universelle, notre système, à travers la science qui lui vint de sa propre VERITE, c’est-à-dire ALLAH, et a mis l’accent sur l’UNICITE d’ALLAH il y a de cela 14 siècles, afin que les êtres humains n’adorent pas de dieux. Il a insisté sur le fait que les êtres humains continuent leurs vies après une transition de la dimension physique vers la dimension spirituelle.

     

    De plus, il a expliqué la nécessité d’accomplir certaines pratiques tant que l’on est en ce monde physique et ceci, en vue d’une préparation pour l’autre vie posthume !

     

    Rasul Mohammed (Que la paix soit sur lui), est le dernier à parachever la mise en garde aux gens. Personne, après lui, n’a qualité pour parler ou juger AU NOM D’ALLAH. Tout le monde peut parler d’Allah et de religion selon le degré de sa science, mais ne le peut jamais A SA PLACE.

     

    Les recommandations du Prophète s’adressent aux êtres vivants dont les vies continueront après la mort, et non aux gouvernements. Dans la vie après la mort, il n’y a pas de gouvernements, mais seulement des personnes. La religion a été instaurée afin que les gens se préparent à la vie après la mort. La religion n’a rien à voir avec les gouvernements et les régimes. Elle ne s’adresse jamais aux gouvernements. La religion responsabilise les personnes individuellement, et non pas les gouvernements. Chaque personne est directement responsable vis à vis de Rasul Mohammed Mustapha Aleyhassalam, qui nous a transmis la religion. Personne n’est responsable envers une autre personne, ou une communauté ou une société, peu importe leur titre religieux, leur carrière ou leur notoriété.

     

    Dans la religion islamique, tel qu’il est indiqué dans le Coran, il n’y a pas de contrainte ! Les recommandations complétées par le Prophète Mohammed s’adressent aux personnes afin qu’ils en bénéficient dans l’autre monde. Ceux qui les suivent de tout cœur le feront pour leur propre avantage, ceux qui ne les prennent pas en considération le feront à leur propre péril tout en endossant les conséquences qu’ils subiront dans leur vie après la mort. La contrainte engendre l’hypocrisie, c’est pour cette raison qu’elle n’est pas tolérée en Islam.

     

    L’Islam ne propose pas de conseils comme un paquet de règles auxquelles on doit obéir complètement ou pas du tout. C’est une fausse interprétation de l’Islam. Chacun est libre de pratiquer autant qu’il le peut pour son propre bénéfice, et le reste pour sa perte.

     

    Si une pratique est faite en vue d’un profit quelconque, elle n’est pas valable en religion. Elle est de toute évidence réalisée dans un but commercial et ne peut par conséquent être considérée comme une action pieuse.

     

    Quel que soit le titre religieux qu’il détient, personne ne peut agir au nom du Prophète qui a reçu la Révélation. Personne ne doit suivre quiconque, en dehors du Prophète. La religion islamique n’est en aucun cas le monopole d’une personne, d’une communauté ou d’une institution. Il est du devoir de chacun d’apprendre sa propre religion convenablement, en se référant aux sources d’origine, comme il est de son devoir de la pratiquer autant qu’il le peut. Si quelqu’un a été mal informé, il en est responsable et n’a par conséquent aucune excuse.

     

    Toutes les prières qui nous ont été transmises par le Prophète sont des pratiques totalement basées sur des réalités scientifiques. Elles n’ont jamais été conçues pour plaire à un dieu là dehors, au-dessus du monde, loin de nous. ALLAH qui, de rien, a existencié l’univers n’a besoin de la pratique de personne. Tout comme les aliments que vous mangez fournissent à votre organisme l’énergie dont il a besoin, les prières (ibadat) fournissent l’énergie stockée dans le corps de fréquences de votre cerveau et dont vous aurez besoin pour votre vie après la mort.

     

    Les pratiques peuvent être classées en deux principales catégories selon l’avantage physique ou mental que nous pouvons en tirer. L’avantage gagné physiquement renforce l’activité mentale et par la suite, développe la capacité du cerveau, donc celle de l’esprit. La répétition constante de mots, une pratique appelée « dhikr », fait que vous réalisez les qualités universelles que sont les noms d’ALLAH qui existent dans votre propre être holographique, et par là, augmente la puissance de votre esprit en développant la capacité de votre cerveau et de ses aptitudes. Par exemple, la répétition du mot «murid » un certain nombre de fois par jour qui est le nom de la qualité d’Allah d’être «le voulant », accroît la puissance de la personne à vouloir. La répétition du mot « Quddus » ajoutée au mot «murid » aide la personne à se débarrasser de ses mauvaises habitudes. Les gens nerveux, tapageurs, qui sont d’un tempérament irritable, qui explosent facilement, qui ne se contrôlent pas, retrouvent le calme peu de temps après avoir commencé à répéter le nom «halim ». Tout ceci se réalise lorsque les cellules du cerveau sont programmées dans les fréquences correspondantes produites par le cerveau. Ce fait a été récemment prouvé dans un laboratoire d’expériences scientifiques et a été publié par John Horgan dans un article de la revue «Scientific American » de décembre 1993.

     

    Plus la capacité du cerveau d’une personne augmente, mieux il réalise et connaît ALLAH comme étant la vérité des qualités exprimées en lui-même. ALLAH n’est pas un dieu quelque part dehors, ou un dieu au-dessus de nous. Il est le nom de l’UN suprême (Akbar) qui, de rien, existencia tout par Sa propre existence, par Sa propre science. Dans le système holographique, Il existe avec toutes Ses qualités dans chaque particule. En termes soufis (Tasawwuf), il existe à chaque point par toutes Ses qualités (Sifat), tous Ses Noms (Asma) et Son Essence (Dhat). En développant la capacité de notre cerveau par l’accomplissement des tâches, nous réaliserons et trouverons ALLAH en nous-mêmes et L’atteindrons par nous-mêmes.

     

    Il y a d’innombrables êtres intelligents à des niveaux différents de longueurs d’ondes, dans l’univers. Certains de ces êtres vivants qui vivent dans un niveau plus subtil de la réalité et qui occupent le même espace que notre monde, sont nommés «djinns » dans la terminologie religieuse. Ils trompent les gens avec lesquels ils s’associent en s’introduisant comme des intrus, des extra terrestres « Ovnis » (objets volants non identifiés), venant d’un autre espace et/ou comme des esprits de personnes décédées et même de saints (awliya). La ruse la plus courante qu’ils utilisent est celle d’imposer aux gens qui dépendent d’eux, l’idée de «réincarnation » qui est, à l’origine, une croyance hindoue et qui n’a rien à voir avec l’Islam. Leur désir est de faire en sorte que les êtres humains passent à l’autre vie d’après la mort, sous forme d’esprits impuissants, et qu’ils soient facilement capturés et obsédés par eux. Pour atteindre ce but, les djinns font toujours en sorte que les gens s’éloignent des enseignements du Coran. La sorcellerie et la magie sont des pratiques que l’Islam rejette totalement.

     

    Le principe fondamental que le Prophète enseigna est le suivant : « Semez l’amour, ne semez pas la haine. Simplifiez les choses, ne les compliquez pas ! ». Les plus grands ennemis de l’Islam sont ceux qui, en donnant l’impression de s’intéresser à la religion présentent ses exigences comme étant des plus difficiles et font perdre aux gens leur intérêt pour l’Islam, Allah et Son Prophète. Dans la vie d’après la mort, ils ne pourront même pas s’approcher de Rasul !

     

    L’Islam est complètement basé sur des réalités scientifiques. Cependant, à cause des conditions sociales du temps où il fut révélé, la plupart des questions ont dû être expliquées par des «paraboles » au moyen de «métaphores ». Pour cette raison même, elles sont souvent accueillies avec réticence. Cependant, si l’on considère l’Islam, sans préjugés et de façon scientifique, on verra clairement qu’il contient non seulement des faits à même d’illuminer la science de notre ère, mais aussi des ères à venir.

     

    Il est regrettable que certaines gens préfèrent perdre leur temps dans des préjugés sur les questions relatives aux traditions et aux coutumes du Prophète, au lieu de discuter de leur valeur scientifique et intellectuelle.

     

    Pour nous, il est important d’évaluer la situation de façon réaliste. Considérons par exemple, l’ampleur que représentait la réforme du Coran en limitant le nombre d’épouses à quatre au sein d’une communauté où, avant que le Coran ne soit révélé, l’homme pouvait posséder un nombre illimité de femmes, les vendre et même les laisser en héritage à ses enfants comme une propriété !

     

    Qui donc oserait accuser quelqu’un de passion excessive pour les femmes, quand celui-ci a épousé une veuve de quarante ans alors que lui-même n’en avait que vingt cinq et qui était toujours satisfait d’elle lorsqu’elle avait soixante cinq et lui-même cinquante ? Celui qui n’arrive pas à saisir le message de Mohammed, nous informant qu’Allah est l’Essence, l’origine, la Vérité de l’existence, devrait au moins cesser les bavardages et essayer de comprendre la position éminente du «rasul » accomplissant la noble mission de médiateur en vue de la félicité des gens dans une vie éternelle, après la mort.

     

    Nous devons réaliser le fait qu’une personne aussi éminente n’a pas été envoyée pour établir une souveraineté ou un gouvernement religieux, pour instaurer un ordre économique ou social, un ordre mondial, et garantir la richesse aux gens. A ses yeux, ni la race, ni la langue, ni la couleur de qui que ce soit n’a d’importance. Par contre, ce qui importe le plus pour lui, c’est de préparer les gens à la vie d’après la mort, car au cas où ils n’auraient pas compris la réalité de leur vie dans l’autre monde à cause de leur ignorance, ils auront à subir de grandes souffrances du fait de n’avoir pas été préparés convenablement à cette future vie.

     

    Ainsi donc mon ami ! L’homme contemporain est celui qui est ouvert à la science et à tout ce qui est nouveau, qui écoute et lit sans préjugés, qui est disposé à débattre ses idées et qui examine les problèmes dans leur totalité. La religion de l’Islam a la qualité de s’adresser à l’homme intellectuel contemporain. Par conséquent, vous devriez vous-mêmes vous livrer à la recherche et faire ensuite une appréciation de l’Islam à la lumière des renseignements que vous aurez recueillis des ouvrages élaborés bénévolement par d’éminents intellectuels et chercheurs.

     

    Dans cet opuscule, nous avons essayé de communiquer certains enseignements religieux de façon très concise sur la base des explications du Coran et du Prophète, parallèlement aux données scientifiques contemporaines. Vous pouvez, en effet, trouver des réponses détaillées à toutes les questions relatives à ces faits dans les livres de Ahmed Hulûsi, comme vous pouvez les trouver dans d’autres sources. Etant donné que nous n’avons pas de chance de revenir une seconde fois sur terre, nous avons tout intérêt à tirer le plus grand avantage de notre séjour ici-bas, et ceci pour notre propre salut.

     

    Nous espérons que, lorsque demain nous serons en face des réalités, nous n’aurons pas de regrets quant à notre comportement en ce bas-monde.

     

    Qu’Allah nous aide à réaliser et à comprendre la vérité de la vie et qu’Allah nous facilite la tâche !

     

    * Un hologramme est une image à trois dimensions. Elle est produite par les interférences de deux faisceaux de lumière. Le premier faisceau provient directement de l’appareil producteur, tandis que le second est réfléchi par l’objet à photographier. La figure d’interférence ainsi créée est enregistrée dans un film. A l’œil nu, l’image du film ne ressemble en rien à l’objet photographié. Elle est composée de reliefs irréguliers (figures d’interférence). Cependant dès que le film est illuminé par une source de lumière, une image à trois dimensions de l’objet photographié réapparaît. Contrairement aux photographies ordinaires, chaque petit fragment d’un film holographique contient tous les renseignements enregistrés dans le tout. L’image est souvent si convaincante que vous pouvez réellement parcourir une projection holographique et l’examiner sous des angles différents. Mais si vous essayez de la toucher, vous découvrirez qu’il n’y a en réalité rien.

     



    Commentaire de Ya Sine (19/09/2007 07:49) :

    Ma Cha Allah! Ceci est très intéressant. Les disciples de Baye se distinguent par leur soif qui est la cause de leur élévation intellectuelle et spirituelle en outre deux réalités qui se confondent dans un Etre Tout Entier. Allah a dit:"Nous t'avons envoyé comme une miséricorde pour l'univers". La Miséricorde est l'origine existencielle "Ma Miséricorde précéde Ma colère (Hadith qoudsi)". Celui qui réunit ses deux aspects sans distinction aucune aura l'Amour de toute chose et celui qui les confronte se retrouve sans cesse dans la dualité et dans l'Enfer de l'ignorance. Le prophète (s) a dit: Il ne sera fait miséricorde qu'à celui qui a fait miséricorde". Celui qui agit en bien agit par et pour Lui même; Des autres à Lui. De percevoir toutes les subtilités divines caratèrisées (les çifats) jusqu'à les ramener dans l'Essence (le zat) le Ana divin".





    QU’Y A-T-IL AU-DELA DE «la MORT »Explications de Mohammed sur la mort

    25/03/2007 03:52



    Il est malheureux que la MORT n’ait pas été comprise convenablement dans son vrai sens, et qu’elle ait été considérée comme «une fin ». Alors que loin être une fin, la MORT n’est rien d’autre qu’une forme de transition d’un monde physique à un monde au-delà du matériel. Juste après la séparation d’une personne de son corps physique à travers la MORT , sa vie continue dans une sorte d’hologramme de fréquences, l’esprit, que ce soit dans une tombe ou en dehors. C’est-à-dire que la MORT est une continuation de la vie, commençant avec un corps spirituel après la fin de la vie avec un corps physique.

     

    Le Coran qui nous enseigne les fondements de l’Islam explique la mort comme suit :

     

    « Chaque âme goûtera à la MORT ! ».

     

    Ce qu’on appelle la «mort » est un transfert vers une vie dans un univers de fréquences, dans un corps spirituel, après la séparation du corps biologique. Dès que le cerveau cesse de fonctionner, l’énergie bioélectrique en circulation dans notre corps, est coupée et il en est de même de la force électromagnétique entre le corps et l’esprit, qui normalement garde l’esprit lié au corps. Ainsi, L’ESPRIT humain est délivré vers une nouvelle vie indépendante du corps physique. C’est un tel événement qui est désigné par le mot «mort ». Toutes les activités correspondant à chaque action d’une personne dans son cerveau, durant sa vie, sont stockées dans son esprit, c’est-à-dire la masse de fréquences, comme les ondes de son et de vision. Par conséquent on accède directement à la dimension spirituelle sans qu’aucun changement ne soit remarqué à la mort. La personne continue sa vie sous forme d’esprit, de la même manière que dans un corps physique ! Avec une différence cependant ! Bien qu’il soit complètement en vie et conscient comme avant, il n’est plus capable de conduire son corps physique à présent. Il est similaire à quelqu’un en état de paralysie qui est en vie et conscient ! Il peut voir tout se poursuivre à l’extérieur, il peut entendre et sentir tout, mais il n’est plus capable d’envoyer un message au monde extérieur.

     

    Ce qui suit est un hadith de Mohammed à propos de la mort tel qu’il a été rapporté par un grand savant Ibrahim Hakki Erzurumî dans son livre «marifetname » (Livre de Gnose) :

     

    « Le décédé (qui a goûté à la mort) connaît ceux qui ont lavé son corps, ceux qui ont enseveli le cadavre, ceux qui ont accompli pour lui le service funéraire, qui ont participé à son cortège funèbre, qui ont descendu son cadavre dans la tombe et qui ont l’ont appelé sur sa tombe ! »

     

    « Ne pleurez pas tout en frappant sur vos joues et en déchirant vos habits devant le décédé car il est torturé par vos lamentations ! ».

     

    Ceci prouve que le décédé verra, sentira et sera chagriné par les situations des autres.

     

    Je veux attirer votre attention sur ces paroles du Prophète qui nous ferons clairement comprendre que même si celui qui est dans la tombe, qui est décédé, a perdu son lien avec son corps physique, il demeurera en vie, saura et aura conscience dans son «esprit » et de plus il entendra ce qu’on lui dira de l’extérieur.

     

    Talha (1) rapporta :

     

    « Le jour de la bataille de Badr, le Prophète (Que la paix soit sur lui) ordonna que les 24 cadavres de la tribu des Qoraïches fussent rassemblés. Ils furent ensuite jetés dans une fosse parmi les fossés de Badr.

     

    Lorsqu’une victoire était gagnée, le Messager d’»allah » (Rasulullah) avait l’habitude d’occuper temporairement des quartiers gagnés dans les champs des tribus ennemies, chaque fois, durant trois jours. Comme c’était le troisième jour de la bataille de Bar, Mohammed ordonna qu’on ramenât son chameau et qu’on le chargeât d’aliments nécessaires pour la route. Dès que Rasulullah se mit en route, ses amis le suivirent. Pendant ce temps, ils se mirent à se dire que Rasulullah allait probablement vers un but. A la fin le Prophète s’arrêta près du fossé où les cadavres avaient été jetés, et les appela ensuite par le nom de leurs pères :

     

    « Oh un tel ! Oh Abu Jahil Ibn-i Hisham : Oh Utbe Ibn-i Rabia ! ... n’auriez vous pas été heureux maintenant si vous aviez cru et obéi à «allah » et à son Messager ? Nous avons en effet trouvé la victoire que notre Seigneur nous avait promise. Avez vous, vous aussi trouvé la victoire que votre Seigneur vous avait promise ?

     

    En l’entendant parler, Omar demanda :

     

    « Oh Rasulullah ! Comment vous adressez-vous à des gens qui sont déjà des cadavres ? ».

     

    Le prophète répondit :

     

    « Je jure par Celui dans les mains Duquel se trouve l’âme de Mohammed que vous n’entendez pas mieux qu’eux ce que je dis ! »

     

    Dans cet événement raconté dans Boukhari, le Prophète a, par cette occasion, corrigé une grande conception erronée.

     

    Celui-ci a été le meilleur hadith pour corriger l’idée absolument fausse que «les hommes reposent dans leurs tombes en morts et reviendront à la vie plus tard, le jour de la Résurrection ».

     

    En fait, quand les hommes sont mis dans la tombe, ils le savent et en ont conscience comme s’ils étaient en état d’éveil ; ils entendent également celui qui s’adresse à eux de l’extérieur aussi clairement que s’ils étaient dehors.

     

    Othman Bin Afwan, qui est le troisième khalife après le Prophète, avait l’habitude de verser des larmes jusqu’à ce que sa barbe se mouillât, lorsqu’il se tenait à proximité d’une tombe. On lui a demandé un jour :

     

    « Vous ne pleurez pas quand vous vous rappelez le Paradis et l’Enfer, mais pourquoi versez-vous des larmes, est-ce la tombe qui vous effraie ? ».

     

    Othman répondit :

     

    « Tel que je l’ai entendu du Prophète, la tombe est certainement la première des stations dans le monde prochain ! Si une personne est libérée de là, il lui sera plus facile d’être libérée des autres à venir. S’il ne réussit pas à se libérer de là, les autres à venir seront encore plus dures ! ». Othman continua ensuite : Le Prophète a dit : « Je n’ai jamais vu de spectacle plus épouvantable que celui d’une tombe ! »

     

    Se tenant près de la tombe de Sadd bin Muaz qui était un important personnage islamique et un martyr pour la cause de l’Islam (shahid), le Prophète a dit un jour :

     

    « Il était un serviteur si distingué que le ciel a tremblé, que ses portes se sont ouvertes pour lui et des milliers d’anges sont venus sur terre. Même lui, s’est senti si serré dans la tombe que ses os ont failli craquer ! S’il était possible d’échapper au châtiment de la tombe et des afflictions après la mort, cela aurait été accordé en premier à Sadd ! Il fut immédiatement délivré de telles afflictions grâce à l’état qu’il avait atteint, c’est tout ! ».

     

    Considérons cela une petite minute ! Si les hommes n’étaient pas en état d’éveil, c’est-à-dire conscients, dans leurs tombes, est-ce qu’un tel châtiment pourrait jamais être pensable ?

     

    On a demandé un jour au Prophète :

     

    « Oh Rasulullah ! Quel est parmi les croyants celui qui a le plus de connaissances et qui est le plus conscient ? » Il répondit : « Ceux qui se souviennent le plus de ce qui arrive à l’homme à sa mort et qui se préparent à faire de leur mieux pour une telle vie après la mort. Ceux-là sont les plus conscients et ceux qui savent le plus.

     

    Ailleurs, Il affirme que :

     

    « Le plus conscient et qui voit le plus loin, est celui qui se soumet (son âme) aux ordres divins et qui s’occupe d’œuvres dont il bénéficiera après la mort. Faible est celui qui reste dépendant de ses propres désirs (égoïste) et puis attend une faveur d’ALLAH ! ».

     

    Ibn Masud, qui était parmi les amis du Prophète a rapporté ses paroles à propos du châtiment de la tombe :

     

    « Les pécheurs seront sûrement exposés au châtiment de la tombe ; les bêtes ont même un sens qui leur permet d’entendre leurs cris ».

     

    Abu Saïd El Khudri raconta : Le prophète a dit :

     

    « Le non croyant est obsédé par quatre vingt dix neuf monstres dans la tombe, chacun d’eux le mordant, le piquant jusqu’au Jugement Dernier. Si jamais quiconque parmi eux respirait par-dessus terre, aucune herbe ne pourrait jamais plus pousser alors ! ».

     

    Ibn Omar raconta : Le Messager d’Allah a dit :

     

    « Quand l’un de vous meurt, on lui montre matin et soir la place qu’il occupera : s’il est destiné au Paradis, alors parmi les gens du Paradis ; s’il est destiné au Feu, alors parmi ceux du Feu, Puis on lui dit : « Voici ta place jusqu’au jour de la Résurrection (Baa’s) ! ».

     

    A présent, accordons un intérêt particulier à un autre point qui est une phrase que nous récitons dans Amantu (2) : « Wal baa’su bad’al MAWT » signifiant «et de revivre après la MORT ».

     

    Examinons cela très attentivement ! Nous ne disons pas : « Wal baa’su bad’al QIYAMAT (LE JOUR DU JUGEMENT) ». L’événement impliqué par le mot «baa’s » n’est pas celui après LE JUGEMENT DERNIER, mais celui après AVOIR GOÛTE A LA MORT !

     

    Dans ce monde, l’homme vit avec son corps physique connu et le corps spirituel construit par son cerveau physique.

     

    En effet, un grand savant islamique et mystique, l’Imam Ghazali dit ce qui suit, à propos du nom AL-BAA’S, dans son livre intitulé «l’interprétation des AsmaAl-Husna » :

     

    La plupart des gens s’engagent dans de fausses conjectures à cet égard, et s’imaginent alors que la mort est une simple absence, la non-existence, ou alors que le «baa’s » entraîne quelque chose de nouveau à la suite de cette absence, comme dans la première création... Avant tout, leur présomption que la mort est la non-existence est une erreur, de même que leur croyance que leur deuxième vie est semblable à la première. En ce qui concerne la présomption que la mort est la non-existence, elle est sans fondement. A vrai dire, la tombe est soit une des fosses des feux de l’Enfer, soit un jardin parmi les jardins du Paradis... La vision intérieure a guidé les maîtres de perception intellectuelle au fait que l’homme a été créé pour l’éternité et qu’il n’y a aucun moyen pour lui de devenir non existant... Evidemment, il y a des moments où son lien est coupé avec son cadavre, quand on dit qu’«il est mort »; ou des moments où son lien peut revenir, et où l’on dit «il est revenu à la vie». Quant à leur croyance que la résurrection est quelque chose de semblable à la première existence, ils sont dans l’erreur, car la résurrection se réfère à une autre sorte de création sans aucune relation avec la première... A vrai dire, les êtres humains subissent un certain nombre de retours à la vie, pas seulement deux ».

     

    En goûtant à la mort, l’esprit humain est libéré du corps physique, et la vie se poursuit dans l’esprit, dans la tombe, jusqu’au Jugement Dernier. Bien plus tard, il revient à la vie une fois de plus (baa’s) avec ses caractéristiques présentes (d’aujourd’hui), durant le terme où la terre est corrompue dans la chaleur du Soleil ; ce qui correspond au «Jugement Dernier» ! Et à la fin tous les corps sont formés par baa’s pour la dernière fois en conformité avec l’environnement qu’ils atteignent.

     

    Allons-nous donc avoir conscience de notre existence, allons nous avoir notre mécanisme actuel de perception et de compréhension dans notre tombe également ?

     

    Abdullah Ibn Omar dit à propos de cela : Durant une discussion avec le Prophète, concernant deux anges connus en tant que Munkir et Nakir qui passent en examen les gens dans la tombe, j’ai demandé : « Oh! Rasulullah allons-nous être éveillés dans la tombe ? »

     

    « Oui. De la même manière que vous l’êtes maintenant ! ».

     

    Qu’arrive-t-il à la personne qui a goûté à la mort, qui est lucide, consciente mais dont le corps ne fonctionne plus ? Apprendrons-nous cela de Anas ?

     

    Le Prophète répondit :

     

    « Lorsqu’un croyant est posé dans sa tombe et que ses compagnons s’éloignent et retournent chez eux, et alors qu’il entend encore le craquement de leurs pas, deux anges se rendent auprès de lui, le font mettre sur son séant et lui posent la question suivante :

     

    « Que disais-tu de cet homme appelé Mohammed ? ».

     

    S’il est un croyant plein de foi, il répondra :

     

    « J’ai attesté, que Mohammed est le serviteur d’ALLAH et Son Messager ». A sa réponse, on lui dira :

     

    « Regarde la place que tu aurais occupée dans le Feu de l’Enfer et celle qu’ALLAH t’a donnée en échange dans le Paradis ». Le prophète ajouta : « Il verra ensuite ces deux places en même temps, celle du Paradis et celle de l’Enfer ».

     

    Quant au mécréant et à l’hypocrite (un musulman de nom), il répondra :

     

    « Je ne sais pas... je répétais ce que tout le monde disait ! ». On lui dira alors :

     

    « Tu n’as rien su, tu n’as donc rien lu (du Coran) ! ».

     

    Ensuite il sera battu avec un maillet et poussera un tel cri que tout le voisinage l’entendra sauf les hommes et les djinns ! » (Bukhari) (3).

     

    Nous noterons enfin le hadith suivant pour conclure le sujet :

     

    « Le décédé - celui qui a goûté à la mort - est torturé par les lamentations de ses parents à son égard ».

     

    Beaucoup plus de hadiths de Rasulullah concernant cette question sont disponibles dans des recueils de Traditions musulmanes où ils peuvent être étudiés davantage.

     

    En conclusion brève de tout cela :

     

    Les êtres humains NE MEURENT JAMAIS, MAIS GOÛTENT A LA MORT ! En goûtant à la mort, la personne perd son lien avec son corps physique et poursuit sa vie dans sa masse de fréquences, c’est-à-dire son esprit. Par conséquent, tout le monde est éveillé dans sa tombe. Chacun continue à vivre là bas tout en ayant connaissance et en ayant conscience, jusqu’au jour de la Résurrection , lorsque chaque personne est remplacée par un nouveau corps en conformité aux conditions de ce terme.

     

    Nous mentionnerons brièvement à présent ce que l’on subit encore après la mort.

     

    Une fois que la personne est morte, sa perception du monde extérieur continue encore pendant quelque temps. Juste comme s’il avait vécu dans son corps biologique, il suit ce qui ce passe autour de lui, il entend les conversations des gens, leurs lamentations. Durant cette période, il se sent comme quelqu’un en état de paralysie. Tous les événements sont perçus de l’extérieur mais, cependant, aucun message ne peut être envoyé. Puis, le moment de laver le cadavre arrive. Quel en est le but ?

     

    La sagesse, en lavant le mort, autant que nous puissions le comprendre, est de fournir au corps dont la vie cellulaire continue, un renforcement bioélectrique au moyen d’osmose, afin que la personne puisse maintenir son contact, bien qu’il soit unilatéral, pendant un peu plus de temps, avec le monde où il avait l’habitude de se mouvoir dans son corps physique, il y avait un moment.

     

    La dimension de la vie qui commence au moment où la MORT est GOÛTEE et continue jusqu’au jour de la Résurrection est connue en tant qu’univers du BARZAKH (Isthmus).

     

    La vie commençant par la mort a trois phases :

     

    1. La vie dans la tombe.

     

    2. La vie dans le monde des tombes.

     

    3. La vie dans le Isthmus (Barzakh).

     

    1. « La vie dans la tombe » : C’est la phase qui dure aussi longtemps que la vie du mort dans sa tombe continue, tout en percevant son environnement physique après avoir goûté à la mort et subi baa’s dans son hologramme de fréquences - son esprit. Durant cette phase, il continue à percevoir les événements qui se passent autour de lui avant et après son enterrement. Cette étape transitoire ressemble à la période qui s’écoule entre notre état de veille et notre sommeil dans nos lits que nous vivons tous chaque jour. Avant de sombrer dans le sommeil nous nous allongeons dans notre lit, conscients et éveillés, tout en ayant connaissance de ce qui se passe aux alentours, la douceur ou la dureté du lit sur lequel nous sommes étendus. Pareillement à l’homme qui est sur le point de dormir, celui qui est dans la tombe, dans cette première étape, perçoit tout aux environs et à l’intérieur de la tombe comme s’il était encore en vie. Juste comme l’homme qui est conscient de cet environnement et qui sombre dans le sommeil dans un monde de rêves, celui qui est dans la tombe perçoit les événements à l’intérieur de sa tombe physique de même que ceux de l’extérieur. En attendant, il est sur le point de commencer son voyage dans SON PROPRE MONDE DE TOMBES.

     

    Ensuite, deux anges, comme indiqué en Islam, apparaissent et lui posent trois questions : « Qui est ton Seigneur ? », « Qui est ton Prophète ? » et «quel est ton Livre ? ».

     

    FAITES ATTENTION ! Il n’y a aucune question dans la tombe concernant la secte, ni l’ordre (tariqat) ou le culte (madzhab) de qui que ce soit ! Jamais un imam de quelque culte ou de quelque secte qu’il soit n’est questionné à ce propos ! CEUX QUI PENSENT QUE CE GENRE DE QUESTIONS SERA POSE DANS LA TOMBE NE SONT PAS FAMILIARISES AVEC LA RELIGION. Ni dans le Coran, ni dans aucun hadith de Mohammed, n’est mentionné quoi que ce soit faisant allusion à une question relative au culte ou à la secte ! Les sectes et les autres organisations ont été établies longtemps après la transition du Prophète dans l’univers du Barzakh !

     

    Oui, à la suite de cet examen, c’est la transition d’une personne dans, soit son monde des tombes, soit son univers du Barzakh.

     

    Nous ferons par la suite la différence entre le monde des tombes et l’univers du Barzakh.

     

    2. « La vie dans le monde des tombes ». A ce stade, celui qui est dans la tombe ressemble à celui qui est complètement endormi dans le monde des rêves, qui n’a pas connaissance de son entrée dans le monde des rêves et qui continue à vivre, percevoir, éprouver comme s’il était éveillé.

     

    Juste comme nous vivons dans ce monde avec l’idée que c’est là notre unique vie, la personne qui entame sa vie dans le monde des tombes expérimente cette nouvelle dimension de la vie de la même manière que si elle était sa seule vie là bas. Dans la phase suivante, soit il vit les rêves agréables d’un Paradis en se divertissant paisiblement, ce qui correspond au «paradis dans la tombe », soit il vit un cauchemar de rêves effroyables d’Enfer au milieu de tortures et de tourments terribles, ce qui correspond au «feu de l’Enfer dans la tombe ». Cette phase se poursuit de la même manière jusqu’au Jugement Dernier.

     

    Ainsi se présente la vie d’une personne dans le monde de tombes durant son séjour dans la tombe.

     

    Le hadith-i-sharif suivant de notre Prophète nous instruit sur ce fait :

     

    « La tombe d’un humain est soit un jardin parmi les jardins du Paradis, soit un trou parmi les trous de l’Enfer ».

     

    Outre cela, il y a une vie dans l’univers du Barzakh.

     

    3. « Le monde de la vie du Barzakh ». C’est une dimension de la vie qui est expérimentée par les martyrs qui sont morts sur le sentier d’« ALLAH », les prophètes et les gnostiques (awliyaullah) , ceux qui sont morts avant que la mort ne vienne réellement à eux. Là bas, ils se déplacent librement dans leurs « corps spirituels » comme s’ils étaient libérés des limites de leur vie de tombe.

     

    Dans la vie du BARZAKH, les Martyrs, les Gnostiques d’ALLAH (awliyaullah) et les Prophètes peuvent se déplacer, voyager et communiquer librement entre eux, selon leur statut. De plus, il y a dans la vie du Barzakh, une hiérarchie et des chefs au sein de cette hiérarchie. Vous trouverez de plus amples informations dans notre livre intitulé « LES MYSTERES DE L’HOMME », sous le titre « Rijal-i ghaïb » (Les hommes de l’Inconnu).

     

    Parmi ceux qui sont dans la vie du Barzakh, un groupe d’awliya qui ont atteint l’état de « fatih » durant leurs vies dans ce monde peuvent communiquer avec ceux de ce monde. Cependant les awliyaullah qui ont atteint l’état de « Kashif » mais qui n’ont pas atteint « fatih » ne peuvent pas entrer en communication directe avec ceux du monde bien qu’ils soient complètement libres dans leur univers. Nous avons donné de plus amples détails à propos des états de « Kashif » et « fatih » (4) dans notre livre intitulé « DUA ET DHIKR » (PRIERE ET MEDITATION EN ISLAM).

     

    Chaque personne continue sa vie après avoir goûté à la mort soit dans son propre monde de tombes, soit dans le Barzakh, selon son état.

     

    Une telle vie attend chacun de nous ! Quiconque peut vérifier ces renseignements et voir la véracité de nos explications dans les sources en rapport, s’il le désire.

     

    Notes :

     

    1. De même que Talha, tous ces noms se réfèrent aux amis de Mohammed qui rapportèrent certains de ses hadiths et sa sunna.

     

    2. Amantu, signifiant « J’ai cru ... », un passage des principes où Mohammed aleyhessalam a défini fatih.

     

    3. Bukhari, l’un des six livres bien connus de hadiths.

     

    4. « Kashif » signifiant « dévoilement » est un terme se référant à des états de compréhension spécifique, par la sensation dans l’expérience de la conscience objective.

     

    « Fatih » signifiant « conquête », le plus haut état de l’expérience absolue de la conscience cosmique.

     






    PREAMBULE.

    25/03/2007 03:50



             [Cheikh Ibrahim Niass], C’est le Cheikh – le Maître – dans toues ses dimensions. [C’est le maître accompli dans toutes les charges afférentes aux fonction d’un maître : maître de Coran, des sciences islamiques classiques, auteur d’ouvrages, éducateur spirituel, éducateur par le comportement quotidien dans la famille, dans le travail et dans l’adoration]. Il est le porte-parole de son temps, la lumière de son époque, façonnée d’un moule unique (incomparable), le lieu focal du regard divin parmi les créatures, la porte ouverte de ceux qui souhaitent accéder à l’Enceinte scellée de Dieu, l’unique de son siècle dans la science et dans la religion, le maître de son moment dans l’éducation spirituelle (tarbiyya), le symbole des bien dirigés, le sceau des gnostiques du quatorzième siècle de l’Hégire. Il est la beauté des jours et des nuits, la preuve des gnostiques (connaisseurs de Dieu) remarquables, la lueur de la communauté muhammadienne, le défenseur de la voie ahmadienne, ibrahimique, la pure (il s’agit là de la voie tijaniyya conforme à la foi pure (hanîfa) du père des croyants, le prophète Ibrahîm), la crèmes de ses hommes majestueux. Il est l’aube des sciences et des connaissances, la somme des deux mers des sciences et des [connaissances] puisées[1], la citadelle imprenable, la grotte élevée hors de portée, la perle de la couronne des nobles véridiques, la perle centrale du précieux collier des pôles hors pairs, le porteur du drapeau des honneurs parmi la créature, le rassembleur des sciences dispersées parmi les grands savants çufi de la communauté, du premier au dernier. Il est doué des beaux caractères et des saintes qualités morales muhammadienne. Il est la limite des sciences émises par la Vérité Qui Gratifie [haqqâniyya et wahbiyya], des connaissances divines issues de la miséricorde de Dieu [rahmâniyya et rbbâniyya]; station qui ne saurait être décrite même avec prolixité et loquacité, par la simple grâce et la faveur de Dieu.

     

     

             Il est celui qui n’a point d’égal ni semblable, ni dans le présent ni et dans le futur, celui-là qui s’est solidement installé sur la crête de la noblesse, de la pureté et de l’accomplissement par le biais de l’héritage muhammadien et de l’éducation spiritelle ahmadien khatmien [c’est-à-dire, de par la formation dans la tarîqa de Cheikh Ahmad Tijân, le sceau, khatm, des saints]. Paré des couronnes des plus beaux joyaux de joaillerie, il possède les indications subtiles et des instructions conduisant vers les grandes réalisations, les expressions inspirantes.

     



    [1] Ghawâfir est pluriel de ghârif, ayant aussi le sens de maghrûf selon le dictionnaire Lisân, qui signifie « puisé ». Ici « culûm » et « ghawâfir »  signifient, à mon avis, pour «c ulûm » : les sciences qu’on peut acquérir par l’enseignement par un maître, dites par ailleurs « mantûqa», c’est-à-dire, exprimées ou énoncées par un maître ou un livre ; pour « ghawâfir » : les connaissances qu’on puise soi-même, par ses efforts intellectuels, ou par inspirations, dites par ailleurs « mafhûma », c’est-à-dire, comprises ou inspirées.

     

    GENEALOGIE.

     

     

             Il s’agit là de notre maître, notre intercesseur envers notre Seigneur, le pôle, l’unique, le saint (rabbânî), le grand gnostique, le ferme (samdânî)[1], Cheikh Ibrahîm Niass, fils de cAbdallah le Tijânî, fils de Seyyidi Muhammad, fils Mademba, fils de Bakary, fils de Muhamadul Amîn, fils de Samba fils de Ridà (RA).

     

             [Ridà, était lui un émigré arabe, qui s’est réfugié au Jolof, pourchassé à la suite d’une guerre sainte à laquelle il a pris part. Arrivé au Jolof, il a épousé la dame Djeyla, princesse issue de la famille du Roi de Jolof ou Bourba Jolof. Voir plus bas, la note de Ibrahim Abu Bakr Niass]

     

     

    NAISSANCE.

     

     

             Il est né le soir du jeudi, quinzième jour du cinquième mois de l’année lunaire de 1320, après l’Hégire à Tayba, village fondé par son père. Le sens du nom de ce lieu de sa naissance [Tayba signifiant pure ; étant aussi un nom de la ville du Prophète (psl)] préfigurait déjà de l’avenir majestueux de cet imâm majestueux.

     

     

    ENFANCE ET FORMATION.

     

     

    Il a grandi dans le giron de son père. Ce dernier, caractérisé par la chasteté, la crainte révérencielle, la bravoure, la vertu, une grande éducation, et par une grande dévotion, lui appris le Coran, version warch can nâfic,  jusqu’à la maîtrise complète.

     

    Dès son enfance, il manifestait déjà des signes patents de réussite. Mais, il redoubla d’efforts et ne les ménagea pas, en vue de l’acquisition des sciences classiques, celles qui sont énoncées (mantûqa) et celles qui sont insprirées (mafhûma) (voir note 1). Il persévéra jusqu’à atteindre les objectifs en acquérant l’expertise avérée dans toutes les branches des sciences religieuses, en y occupant une place de premier choix, en très peu de temps. Alors, Dieu l’établi comme une miséricorde pour ses serviteurs, comme un avantage pour les métropolitains et pour les provinciaux.

     

    C’est son père, à l’autorité ancrée et à la célébrité répandue, s’est personnellement chargé de son éducation. Il reçut de ce père là, par la grâce de Dieu,  les perles des utilités et le nectar des secrets, des invocations et des us et coutumes. Par la suite, Dieu lui accorda la grande ouverture, et lui accorda les sciences infuses [culûmuñ wahabiyyatuñ laduniyyatuñ : sciences infuses accordées par Dieu dans sa promiscuité, sciences qu’on acquiert pas par l’effort personnel ni par l’apprentissage]. Il ne les a apprises de personne ; plutôt, Dieu – celui qui connaît toute chose – les lui a accordées par inspirations divines.

     

     

    ENSEIGNEMENTS ET ETUDIANTS.

     

     

             Il ne cessa de fructifier des acquis de sa science et d’en propager les résultats, jusqu’à ce que les foules, désireuses de sciences, affluèrent vers lui et s’inscrivèrent dans ses écoles. Ces écoles ont formé de grands savants, vertueux, et pratiquants. Les savants versés dans les sciences rationnelles et dans la gnose, ont témoigné de cela. Ses bénédictions se sont répandues sur l’ensemble des frères tandis que sa position a survolé celles de tous ses contemporains.

     

     

             [Un de ses disciples, Cheikh Mustafà Guèye, ira plus loin en disant : Cheikh Ibrahima Niass a formé des savants qu’aucune université n’a encore formé de semblables !].

     

     

    ITINERAIRE DANS LA VOIE TIJÂNIYYA.

     

     

             Il a reçu l’autorisation dans la voie Tijâniyya de l’incomparable de son époque, la preuve de son siècle, le zamzam [pour dire le nectar] des ses litanies [ensemble des invocations journalières, hebdomadaires, mensuelles ou annuelles d’une voie çufi, voir [1] ], et de ses secrets, la somme de ses lumières et invocations, son maître et père, le savantissime, le guide parfait par l’exemple, le khalif de Cheikh Ahmad Tjânî sans le moindre doute, le porteur du drapeau de la sa voie dans les pays de l’ouest, n’est-ce-pas lui, le guide, l’une des sommités parmi les montagnes, le rassembleur entre les scences esxotériques [Charîcatu : loi officielle, ou monde extérieur] et les sciences ésotériques [haqîqatu : mysticisme ou loi interne ou réalité cachée des choses], ce qui fit de lui le meneur et guide de la voir tijâniyya, je veux nommer El Hadj Abdallah fils de Seyyid Muhammad, que Dieu ne cesse de l’élever vers la position la plus loué.

     

             Puis, son âme complète et fière, calme, agréante et agrée [l’enseignement çufi distingue septs dégrés de l’ame : l’âme (nafs) est d’abord encline au mal (aämmâratuñ bi-äl-sû-ï), puis (lawwâmatu ), puis inspirée du bien et du mal (mulhamatu),  puis apaisée (mutmayïnnatu), puis agréante (râdiyyatu), puis agrée (mardiyyatu), puis enfin complète et totalement accomplie (kâmila) : dans cette dernière étape, il n’y a plus de séparation entre Dieu et l’esclave]  s’enflamma d’aspirations et son souci supérieur, qui réduirait d’un seul coup les montagnes en poussière s’il s’y était attaqué [pour dire : les plus grandes difficultés ne résisteraient pas devant sa volonté], se dressa vers la cueillette des fruits des sciences infuses (haqqâniyya) et des goûts malakûtî et des secrets jabarûtî [Dans l’enseignement çufi et tijânî en particulier, Dieu possède cinq enceintes : le nâsût, le malakût, le jabarût, le lâhût et le hâhût]. Il y atteint un point incessible à tout autre, à cause de son élévation, dans le passé et dans le futur. A ce propos, le savantissime poète au style délicieux, mawnâk äl-tungudî, a dit, en éloge à Cheikh Ibrahîm Niass :

     

     

    qutbu äl-tijâniyyati äl-chahîru wa tâjuhâ

                                                            wa aïmâmuhâ wa jadûduhâ tîjânuhâ

    dhû äl-rutbati äl-culyâ äl-latî tanhattu can-

                                                            äl-cârifuna wa law samâ cirfânuhâ

    wa bihi äl-charîcatu qad tamakkana sîtuha

                                                            wa bihi äl-haqîqatu samâ bunyânuhâ

    kiltâhumâ lawlâhu aäqfara rasmuhâ

                                                            bayna äl-warà wa tadakdakat aärkânuhâ

     

    Célèbre pôle et couronne de la Tijâniyya  ;

     

                                                   Son guide ; et ses parents furent ses couronnes

     

    Doué de la station suprême inaccessible

     

                                                   Aux gnostiques, même à la gnose très élevée

     

    Par lui, la renommée de la charîca s’est fortifiée

     

                                                   Par lui, les fondements de la haqîqa se sont dressés

     

    N’eût été lui, les traces de toutes les deux seraient perdues,

     

                                                   Et leurs piliers anéanties parmi la créature.

     

     

     

             Ensuite, il se dressa pour le service des créatures, jour et nuit, matin et soir, au moyen des sciences infuses et les connaissances divines.

     

     

    INSTALLATION AU SOMMET DES SCIENCES.

     

     

             Il monopolisa et enfourcha le Coran [enfourcher : image pour dire << maîtriser>>], les traditions du Prophète (PSL), la littérature, l’enseignement, l’orientation, l’éloquence, la rhétorique dans ses multiples aspects, à un tel point qu’un autre s’y sentirait comme un pique-assiette. Les littéraires de son époque, des contrées immédiates et lointaines, ont tous témoigné de cela. Quand il s’exprime, les maîtres arabes de l’éloquence se mettent à genoux en lui tendant l’oreille, et qussuñ ibn sâcida devient bâqil à ses cotés. [quss, célèbre poète et littéraire arabe. On le donne souvent en exemple de quelqu'un de très doué, devant Bâqil, exemple d’homme plutôt insignifiant]. Il avait la maîtrise de toutes les sciences rationnelles et les sciences transmises []. Il les manipulait à sa guise dans multiples sens, y extrayait ses perles, à l’improviste, de ses mines. 

     

             Quant aux vérités essentielles divines et les connaissances saintes, il en fut le dépositaire, la clé, la niche, la lanterne et le verre [termes typiques empruntés à la description coranique de la lumière divine : Dieu est la lumière des cieux et de la terre. Il en est de Sa lumière comme d’une niche où trouve une lampe, dans un vers, le verre, comme un astre de grand éclat …, Coran 24 :35]. Il jouissait  de très nombreuses faveurs et des qualités immenses.

     

     

    SES HONNEURS ET SON COMPAGNONNAGE.

     

     

             Ses honneurs, ses gloires, ses bienfaits envers la créature de Dieu, de toutes sortes, matériels et immatériels, sont si nombreux que toutes les plumes et les langues du monde ne peuvent les énumérer. Il a tété les mamelles de la gloire, de la bonne éducation et de l’effort librement consenti en vue de l’obtention de l’agrément de Dieu l’Affectueux et le Gracieux, de l’assistance aux pauvres et démunis et impotents. Il persévéra dans cette voie jusqu’à ce que sa renommée se propagea et illumina les horizons. Furent plantés devant lui les drapeaux de la victoire, sans contestation possible. Il ne cessa, durant sa vie, de gratifier excellence, surplus, dons et grâces, à tout instant, à tout moment. L’écoulement de ses bienfaits et de sa générosité, et de sa bienfaisance est comme un mouvement perpétuel de va et vient dans tous les recoins. En résumé, ses qualités sont innombrables hors de portée de toute inspection. Les chiffres, mêmes utilisés sur toutes les feuilles, ne sauraient y parvenir !

     

     

    SON AUTORITE EN POESIE ET PROSE.

     

     

             Quant à son excellence en poésie (nazm), prose (nathr), en rhétorique (badîca), allitération (aäjnâs), en éloquence (fasâha et bayân) de la plume et de la langue, ni Sahbân ni Hasân ne sauraient rivaliser avec lui. [Sahbân bn wâyïl et Hasân sont deux très grands poètes et littéraires arabes, donnés en exemple de sommités dans ces domaines]

     

     

    SON ŒUVRE.

     

             Il a écrit plusieurs ouvrages, rapports, notes et ouvrages-réponses, importants et utiles, y condensant les connaissances éparpillées dans textes de l’élite des  imâms et guides sûrs[2].

     

             On peut citer parmi ses ouvrages

     

     

    1 -     Kâchifu äl-aïlbâs can faydati äl-khatmi aäbî äl-cabbâs

             Le dévoilement des voiles de la profusion du Sceau, Abûl Abbâs

     

    2 -     Masarratu äl- majâmici fî masâyïli äl-jâmici

             La joie des assemblées à propos des questions relatives à la grande mosquée

     

    3 -     Äl-khamru äl-halâlu fî madhi sayyidi äl-rijâl

             Le vin licite à propos de l’éloge du Seigneur des hommes

     

    4 -     Taysîri äl-wusûli  aïlà hadrati äl-rasûl

             Le rapprochement de la liaison vers l’enceinte du Prophète

     

    5 -     Tîbu äl-aänfâsi fî madâyïhi äl-khatmi aäbî äl-cabbâs

     

    6 -     Rawdu äl-muhibbîna fî madhi sayyidi äl-aârifîna

             Le jardin des amoureux à propos au seigneur des gnostiques

     

    7 -     Äl-nûru äl-rabbânî fî madhi äl-sayyidi aähmada äl-tijânî

             La lumière rabbanique à propos de sieur Ahmad Tijân

     

    8 -     hu äl-aädabi, limâ hawàhu min hikamiñ wa aädabiñ

             La quintessence de l’éducation spirituelle.

     

    9 -     Nûru äl-basari fî madhi sayyidi äl-bachari

             La clairvoyance de la vision dans l’éloge du seigneur des hommes

     

    10 -   Äl-sirru äl-aäkbar wa äl-kibrûtu äl-aähmar

             Le plus grand secret et le souffre rouge

     

    11 -   Tuhfatu äl-aätfâli fî haqâyïqi äl-aäfcâl

             Le cadeau des enfants à propos des réalités des verbes

     

    12 -   Äl-faydu äl-aähmadî fi äl-mawlidi äl-muhammadî

             La profusion ahmadienne sur la naissance muhammadienne

     

    13 -   Tabsiratu äl-aänâmi fî aänna äl-cilma huwa äl-aïmâm

             Eclairage des hommes que la science est le guide

     

    14 -   Ruhu äl-hibbi fî madhi äl-qutb

             L’Esprit de l’Amour dans l’éloge du pôle (qutb)

     

    15 -   Tabsiratu äl-aänâmi fî jawâzi ruwüya Tabsiratu äl-aänâmitu äl-bâriyï fî äl-

    yaqzati wa äl-manâm

    Eclairage des hommes sur la possibilité de la vision de Dieu, en état de veille et en état de sommeil.

     

     

             Qu’il te suffise pour preuve de son mérite, sa haute autorité, la grandeur de ses préoccupations, son élection par le seigneur, comme le puits de breuvage de ceux qui ont soif, le point de refuge des pèlerins aspirants, le secoureur de ceux qui cherchent protection, le succès des nécessiteux, l’aliment de ceux qui frappent aux portes. Considère aussi l’avènement de la fayda [profusion mystique permettant au Cheikh me mettre en contact les disciples avec l’enceinte sacrée divine] , celle-là même qui a été prédite par Cheikh Ahmad Tijâni, le pôle , le sceau caché, le muhammadien, le connu. Il s’était propagé que celle-ci devait se produire à la fin des temps. Des milliers de disciples ont atteint, par son intermédiaire, à la gnose parfaite, en témoins occulaires. Des délégations, par groupes,  lui sont venues de toute part, de toute race, ont embrassé notre Voie, voie des grâces rabbâniques et des dons gnostiques.

     

             Tous ceux qui ont pris ce wird précieux, ont obtenu le secours spirituel (madad)[3] et se sont installés dans les contrées de la gnose.

     

     

             Le poète déjà cité, äl-tungudî, a dit à ce propos

     

     

    Yâ khayra man zujira äl-citâqa libâbahu

                                                   Wa tanâfasat fî zawrihi rukbânuhâ

    aïnna äl-khlalâyïqa fawzuha fî zawrikum

                                                   wa bi tarki zawritiha lakum hirmânuhâ

    fâzat binafhatika äl-khalâyïqu wa aïftaqà

                                                   sawdânuhâ fî zawrukum baydânuhâ

    hazana äl-tarîqu, aälanta limurîdikum

                                                   sakhrahâ yakhchà wa lâ safwânahâ

    aänta äl-aïmâmu aïmâmuha wa tabîbuhâ

                                                   khirrîtuhâ luqmânuha sultânuha

    wa lâ aänta tabbacuhâ wa qaysaruhâ aänû

                                                   charwânuhâ wa najachuhâ wa khâqânuhâ

     

    O toi le meilleur vers qui les chameaux sont dirigés vers sa porte,

                                                   Et vers qui les caravanes, en visite, se font la course

    Le bonheur des êtres est dans la visite qu’ils te font

                                                   leur malheur est dans leur abandon de celle-ci

     

    Les êtres s’épanouissent de ton souffle et, les blancs,

                                                   Suivirent les noirs vers toi,

    Gardien de la Voie , tu l’as amolli pour tes disciples au point

                                                   Qu’ils ne craignent ni la pierre ni la roche

    Tu es l’imâm, son[4] imâm, son medecin,

    Son guide, son luqmân, son prince

    Tu es son tubbacu, son qaysar, son charwân, son najâch, son khâqân[5]

            

    *************** =============

     

    1 –     Cheikh Ibrahima Niass : äl-bayân wa äl-tabyîn cani äl-tijâniyyati wa

    tijâniyyîn. Traduit par l’Assise sous le Titre : Lumières sur la Tijâniyya.

     



    [1] Rabbânî : relatif à Dieu. Samdânî : Eternel, absolu, vivant de lui-même. C’est pourquoi, nous avons défini « rabbânî » par  « saint » et « samdânî » par « ferme ».

    [2] La conséquence est que la lecture des ouvrages du Cheikh confère un niveau très élevé accessible seulement à ceux qui on


    Commentaire de Ya Sine (19/09/2007 07:52) :

    La biographie de Cheikh Baye (r) par Serigne 'Ali Cissé (r)





    Le Dernier sermon du prophète

    25/03/2007 03:45



    Ce sermon fut récité le neuvième jour de zoul houja 10 a.h dans la vallée uranah du mont arafat :

    Après avoir loué et remercié Dieu, le prophète (paix soit sur lui) dit :

    "O peuple ! Prêtez-moi une oreille attentive, car je ne sais pas si je serai encore parmi vous l'an prochain. Alors, écoutez ce que je dis avec beaucoup d'attention et transmettez ces mots à ceux qui ne pouvaient être présents aujourd'hui.

    O peuple ! Tout comme vous considérez ce mois, ce jour, cette cité sacrée, considérez aussi la vie et la propriété de tout Musulman comme sacrées. Rendez les biens qu'on vous a prêtés à leurs propriétaires de droit. Ne faites de mal à personne de façon à ce qu'on ne vous fasse pas de mal. Souvenez-vous qu'un jour vous rencontrerez votre Seigneur et Il vous demandera des comptes sur vos actions en ce monde. Dieu vous a interdit l'usure. Alors, toute obligation usuraire doit désormais être annulée. Votre capital est à vous. Vous n'infligerez ni souffrirez d'aucune inéquité. Dieu a jugé qu'il n'y devait pas y avoir d'intérêt et que tout intérêt du à Abbas Ibn 'Abda'Al Muttalib (l'oncle du prophète) doit être annulé.

    Tous les droits (à la vengeance) découlant des homocides de la période pré-islamique sont désormais annulés et les premiers que j'abolis sont ceux qui découlent du meurtre de Rabiah Ibn Al Harith (un proche du prophète)

    O peuple ! Les incroyants jouent avec le calendrier afin de rendre permissible ce que Dieu a interdit et interdire ce que Dieu a permis. Selon Dieu, les mois sont au nombre de douze. Quatre d'entre-eux sont saints. Trois d'entre-eux sont successifs et un survient entre les mois de Jumada et de Shaban

    Faites attention au Diable, pour le bien de votre religion. Il a perdu tout espoir de vous égarer par les grands péchés, alors faites attention de le suivre dans les petits péchés.

    O peuple ! Il est vrai que vous avez des droits sur vos femmes, mais elles ont aussi des droits sur vous. Souvenez-vous que vous les avez prises comme femmes seulement avec la permission et de Dieu et en remplissant un pacte avec Lui. Si elles vous restent fidèles, alors il leur revient le droit d'être nourries et vêtues dans la gentillesse. Traîtez bien vos femmes et soyez gentils avec elles, car elles sont vos partenaires et vos assistantes dévouées. Et c'est votre droit qu'elles ne fréquentent pas des gens que vous n'approuvez pas, ainsi que de ne jamais être infidèles. O peuple ! Écoutez-moi avec sincérité. Adorez Dieu, accomplissez vos cinq prières quotidiennes, jeûnez pendant le mois du Ramadan et donnez de votre bien en Zakat (charité). Faites le Hajj (pèlerinage), si vous le pouvez.

    Toute l'humanité descend de Adam et Eve. Un Arabe n'est pas supérieur à un non-Arabe et un non-Arabe n'est pas supérieur à un Arabe. Un blanc n'est pas supérieur à un noir et un noir n'est pas supérieur à un blanc - seulement par la piété et la bonne action. Sachez que chaque Musulman est le frère de chaque Musulman et que les Musulmans constituent une fraternité. Le bien d'autrui n'est pas légitime pour un Musulman excepté celui que son frère lui donne de plein gré. Alors, ne vous faites pas d'injustice à vous-mêmes. Souvenez-vous qu'un jour vous rencontrerez Dieu et répondrez pour vos actions en ce monde. Alors faites attention ! Ne vous égarez pas du chemin de la piété après mon départ.

    O peuple ! Aucun prophète ou messager ne viendra après moi et aucune nouvelle croyance ne naîtra. Raisonnez bien alors, O peuple, et comprenez les mots que je vous transmets. Je laisse derrière moi deux choses : le Coran et ma Sounna et si vous les suivez, vous ne vous égarerez jamais.

    Tous ceux qui écoutent devront transmettre mes paroles aux autres et les autres, à d'autres encore, de façon à ce que les derniers comprennent mes paroles encore mieux que ceux qui m'écoutent directement. Sois témoin, O Dieu, que j'ai transmis Ton message à Ton peuple".





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